Ayon Crossfire III
11995€
Le Ayon Crossfire III ira encore plus loin grace à son étage d’entrée encore plus poussé.
Fonctionne en intégré ou en mode ampli de puissance
2X30W Pure Classe A – 2 x AA62B
Le Ayon Crossfire III remplace le Crossfire II en mars 2013 il sera officiellement présenté au salon de Munich 2013
Les nouveautés: nouveau contrôle de volume et nouvel étage de préamplification.
Le Ayon Crossfire III adopte une nouvelle implantation des tubes visible depuis l’extérieur de l’appareil.
Le Ayon Crossfire III peut se marier à un grand nombre d’enceintes, nous avons pu avec les essais sur Wilson audio, Wilson Benesh d’autres écoutes ont été menées sur Klispch Cornwall , Tannoy Prestige Kensington SE ou KINGDOM ROYAL
Les résultats sont au delà de nos espérances.
Rupture de stock
Ayon Crossfire III:
Amplificateur intégré switchable en ampli de puissance.
SE triode (parallele Single Ended), pure classe A
Sorties: 4 et 8 ohms
Bande passante: 8Hz à 35 Khz
Puissance de sortie: 2 x 30W (en 62B), on peut sur commande avoir les tubes 82B.
Impédance d’entrée: 100 kohms
Rapport S/N: 98 dB
Entrées: 3 x Line In‐RCA, 1 x Line In‐XLR, 1xDirect In
Sorties: 1 Pré Out
Controle de volume: MCU based with analog resistor switching circuit (1,5 dB par pas)
Negative Feedback (NFB): 0 db
Tubes: 2xAA62B, 2x 6H30, 4 x 6SJ7, 1 x 5U4G (ou sur commande le tube Mesh)
DHT, Auto Fixed Bias system & Tube test program, Diagnostic system via USB port;
Dimensions: 52 x 42 x 25 cm (L x P x H)
Poids: 45 kg (poids pour l’envoi: 55kg)
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2 avis pour Ayon Crossfire III
hifilink –
Grand coup de coeur partagé avec Laurent sur les Triodes de chez Ayon.
Laurent –
Ce n’est pas le crossfire III que j’ai écouté chez HIFI LINK, mais le II.
Au départ, on se dit que 30 W, c’est quand même pas beaucoup. Mais, dans le passé, j’ai déjà possédé et adoré un ampli en mono-triode, un Unison Research S8. Et je sais que 30 watts bien pesés peuvent suffire la plupart du temps avec des enceintes de rendement normal (disons 90dB).
Pas facile à décrire ce genre d’ampli. Par quoi commencer ?
Ah oui, justement la facilité, le message musical passe avec une facilité, une évidence qui laisse bouche bée. Il n’y a rien qui accroche, rien qui agresse. Et une palette de timbres hallucinante.
Tous les détails y sont : pas de fausse mollesse de tube, pas de côté sirupeux systématique, c’est extrêmement droit et musical. La scène sonore est palpable comme jamais.
La surprise ? c’est le grave . Avec cette technologie d’ampli, on doit la plupart du temps se résoudre à avoir un grave boursouflé et bedonnant, en contre-partie de toutes les qualités du reste du spectre. En tout cas, c’est ce que je ressentais avec mon Unison Research S8.
Avec le crossfire II, le grave est d’une fermeté inattendue pour une mono-triode en SE. La tenue est équivalent à celle d’une pentode en Push-Pull, c’est dire.
Alors les limites de cette ampli ? Quand on le branche sur des Wilson Audio Sasha, (pas faciles à alimenter les garces : elles descendent en dessous de 2ohms), alors on sait que l’on ne pourra pas écouter de la musique électronique à donf, en lézardant les murs… Pour cela, prendre des amplis en classe D…
Pour ce qui me concerne, j’écoute principalement du Jazz, du Blues, de la musique du monde ou de la musique classique, alors c’est simple, c’est le meilleur ampli que j’ai jamais entendu, toute gamme de prix confondu.